Que celui ou celle qui n'a jamais entendu parlé de personne atteinte de perversion narcissique lève la main !
C'est la maladie mentale du siècle naissant qui est, ne nous trompons pas, une psychose asymptomatique dans ses premières phases et qui non seulement nuit à l'entourage proche des personnes atteintes mais laisse la personne atteinte, l'âge avançant, dans un état psychotique délirant pratiquement continu (c'est surtout flagrant la cinquantaine passé).
Vous trouverez sur Internet un wagon de site vous détaillant les typologies de fonctionnement des personnes qui en sont atteintes. Personnellement, je connais quatre personnes que j'ai pu observé de très près en plein extase manipulatoire afin de parfaire ma connaissance sur le sujet et d'affiner un bouquin que j'écris à plusieurs mains sur le sujet :

  • ma génitrice - ce qui m'a permis de développer un radar peu commun pour les identifier avant même le bouquin de Racamier sur le sujet -;
  • trois connaissances dont je tairais le nom pour le moment.

Et venons s'en au fait: que doit faire une société dite démocratique fasse à ce phénomène grandissant ?
Vu les dégâts occasionnés sur les proches en état de faiblesse, je dirais une identification et une prise en charge à l'âge le plus adéquate médicalement. Mais il ne faut pas rêver. Les états démocratiques ont déjà assez de mal avec des maladies mentales plus anciennes, je doute fort que çà soit réalisable. Le fichage ? mouif. L’enfermement ? mouif. Apprendre à la population à les identifier pour s'en écarter ? C'est déjà mieux mais pas suffisant car çà présuppose que la population soit éduqué en psychologie et c'est plus ou moins le choix de la France qui colmate ensuite les dégâts pour leurs victimes. Pas de réponse simple à un problème aussi complexe.