Au détour d'une page d'un roman de Murakami, dans la bouche d'un personnage : Les thèses déconnectées de la réalité, les termes vidés de leur sens, les idéaux usurpés, les systèmes rigides. Voilà ce qui me fait vraiment peur. Je crains toutes ces choses et je les exècre du fond du cœur.
Je laisse le soin au lecteur de trouver duquel de ses romans c'est extrait.

Une complainte malheureusement éternelle comme la rigidité de l'intolérance sur laquelle est venu se briser moult rêves. Le rêve a toujours été le moteur premier du pire comme du meilleur. La seule différence entre les deux fins, c'est la capacité du rêveur à reconnaître ses erreurs, ou non.