Me voilà devant mon clavier en train de me dire ce que je vais bien pouvoir raconter sur le blog après tout ce temps sans aucune mise à jour.
Vais-je me fendre d'un billet qui va raconter ma vie, qui n'a pas en soit tellement d'intérêt ?
Ou bien assommer le lecteur éventuel avec mes considérations sur l'économie du numérique et la propriété intellectuelle ?
Ou encore expliciter mes interrogations sur le contenu du présent billet - ami lecteur, il me semble que je suis en train de le faire mais je peux me tromper - ?
Cher lecteur, je peux imaginer votre désarroi devant l'absence de réponse à la question qui vous brûle la langue (et aussi un peu les lèvres) :
Mais où était-il donc passé ?
Ma réponse sera simple : cela ne vous regarde point. Le seule chose que je laisserai fuiter, c'est que j'ai écrit mais alors vraiment beaucoup écrit, vous pouvez pas vous imaginer - ou peut-être que si -. En même temps, quand on est assailli par une flopée de mots, phrases et autres constructions grammaticales des plus abracadabrantes, il semble des plus opportuns de coucher le tout sur papier - en fait sur clavier, mais les expressions idiomatiques suivent très rarement le progrès technique -.
J'ai donc pissé de la ligne.
Et j'en ai ingurgité de la ligne aussi.
Je met doucement de l'ordre dans tout ce fatras enfin d'en extraire la substantifique moelle et le publier.
J'ai également réfléchi à un algorithme de création de végétations virtuelles à partir de son, ou préférentiellement de musique. Je vous passerai les détails techniques dont vous n'avez sans doute cure. C'est une déclinaison du travail fait sur les installations de LEDs dont un aperçu est visible ici.
Une conclusion s'impose-t-elle à ce billet ?
Si oui, veuillez vous la faire en silence dans votre tête afin de ne point déranger l'auteur.
A bientôt.